L’ONG nationale Initiative pour la Démocratie et le Développement Durable (I3D) a reçu un véhicule 4X4 ainsi que huit motos tout terrain pour mettre en œuvre le Projet d’Amélioration de la Résilience des Services Ruraux d’Eau Potable (PARSEP) dans la région de Nana-Mambéré, à l’ouest de la République Centrafricaine.
Une étape décisive a été franchie dans la mise en œuvre du PARSEP avec la remise officielle de 4 véhicules 4×4 et de huit motos, aux acteurs d’exécution du projet (Solidarités International, Water for Good et I3D). La cérémonie a bénéficié de la présence des représentants des partenaires impliqués, des ONG opérant dans les zones du projet.
La réception de ces moyens roulants a eu lieu le 2 avril 2025 à Bangui, au bureau de l’ONG Solidarités International, qui supervise le consortium du PARSEP.
Un soutien logistique au cœur des opérations
La remise de véhicules et motos vise à renforcer l’opérationnalité des acteurs du PARSEP à tous les niveaux d’exécution. Ces véhicules permettront d’améliorer l’efficacité des interventions sur le terrain et d’assurer une meilleure couverture des zones d’intervention, souvent éloignées et difficiles d’accès.
Le directeur exécutif de l’ONG i3d a souligné que l’essentiel est d’avoir ce véhicule et les motos afin de faciliter les déplacements sur le terrain pour mener à bien le projet dans les délais prévus.
MM. Guillaume HAEGEL, Directeur pays de Solidarités international et Claude KANE, Coordonnateur du consortium PARSEP, ont affirmé que ce soutien logistique constituera un levier important pour améliorer les indicateurs du projet.
Pour la phase 2 du projet, 45 zones susceptibles d’accueillir 30 forages dotés de pompes à action humaine (FPMH) ont été identifiées et 17 zones bénéficiant du mini-système d’approvisionnement en eau potable (MAEP).
Le PARSEP est réalisé par un consortium d’ONG nationales et internationales WASH, comprenant Solidarités International (le porteur du projet), Water for Good (WfG) et Initiative pour la Démocratie et le Développement durable (I3D). Il est financé par l’Agence française de développement (AFD) à hauteur de 10 millions d’euros.